Certains détraqués publient sur leurs sites internet des listes de personnalités « sionistes » dans lesquelles ils incluent quiconque ne leur paraît pas suffisamment hostile à Israël. Je n’ai pas encore compris comment ils réussissaient à y faire figurer, outre Michèle Alliot-Marie, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, même un « anti » obsessionnel comme le sinistre Olivier Besancenot.
Sur un de ces sites de déments propagateurs de théories du complot, celui-ci est même carrément désigné comme juif. Serait-ce parce qu’il a fréquenté Alain Krivine et sa fille ?
Pourtant, le Tintin postal n’a visiblement rien de juif : ni son patronyme, ni sa sensibilité, ni ses idées, ni son visage, ni ses oreilles de troll.
L’histoire et la géographie du nom Besancenot sont éloquentes (geopatronyme.com) : une forte concentration autour de la Haute-Saône, et de nombreuses références au cours du XIXe siècle dans divers départements français.
Parmi les candidats aux diverses élections, il est le seul à mentionner, et de façon systématique, les « Palestiniens » dans ses tracts de campagne. Il s’est aussi distingué en défilant dans la rue et devant les caméras de télévision tout en scandant « Sharon assassin ».
Parmi les candidats aux diverses élections, il est le seul à mentionner, et de façon systématique, les « Palestiniens » dans ses tracts de campagne. Il s’est aussi distingué en défilant dans la rue et devant les caméras de télévision tout en scandant « Sharon assassin ».
Plus récemment, il est allé jusqu’à suggérer que si des équipes de secours israéliennes s’étaient rendues en Haïti, c’était pour y prélever des organes : il est difficile d’imaginer même le Juif le plus antisémite débitant un ragot aussi immonde.