Quand j’étais petite, nous avions des crucifix partout dans la maison, pour rappeler que Jésus-Christ est mort sur la croix pour nous. Les crucifix sont un vestige de mon enfance, comme un doudou. J’ai aimé leur apparence et ce qu’ils symbolisaient, avant même qu’ils ne soient à la mode. J’achète le mien dans les bodegas espagnoles, où ils ont des chapelets de toutes les couleurs. J’en ai un très long qui paraît blanc à la lumière, mais qui brille dans le noir [...]— Madonna, Interview pour le magazine musical SPIN (1985).
Son appartenance religieuse, qui l’eût crue si fixe ? |
Or, qu’est-ce que le Centre de la Kabbale ? Une organisation créée par un certain Philip Berg, un agent d’assurance reconverti en faux rabbin qui prétendait mettre la Kabbale à la portée du tout-venant, ou plus exactement à la portée des stars fortunées attirées par les colifichets ésotériques et mystiques.
Dans la tradition juive, l’étude de la Kabbale est réservée aux talmudistes érudits, mais le moins qu’on puisse dire est qu’aujourd’hui comme hier, les charlatans font toujours recette.
Madonna Louise Ciccone est la fille de Silvio Anthony Ciccone et de Madonna Louise Fortin. Ciccone et Fortin ne sont pas des patronymes portés par des Juifs.
En outre, on peut remarquer qu’elle a reçu les mêmes prénoms que sa mère : comme j’ai déjà eu plusieurs fois l’occasion de l’écrire, une telle manière de nommer son enfant est absolument contraire à la tradition juive.
Élevée dans un milieu « strictement » catholique, Madonna avait pris comme prénom de confirmation Veronica, en référence à sainte Véronique.
Sources : SPIN ; Wikipedia.