Une fois de plus, je ne peux que spéculer sur les raisons possibles, toutes mauvaises, pour lesquelles j’ai vu récemment quelqu’un écrire que l’homme politique français Alain Poher était juif.
La terminaison en « -er » ? En fait, peu importe la raison, la connaître n’aurait pas grand intérêt. Il n’y a même pas lieu de parler de raison. Le mot déraison serait plus adéquat.
Alain Émile Louis Marie Poher était le fils d’Ernest Rémy Clovis Poher (lui-même fils de Jules Poher et de Marie Bour) et de Louise Souriau (elle-même fille de Louise Aglaé Foucher, laquelle était la fille de Marie Rosalie Bourdin).
En fait, la seule présence du prénom Marie dans son état-civil suffit à prouver, s’il en était besoin, qu’Alain Poher n’était pas juif.
En effet, comme je l’ai déjà expliqué à propos d’Etienne Ader, de Jean-Louis Borloo, de Joris-Karl Huysmans et d’Alain Juppé, donner à un enfant un prénom de l’autre sexe est absolument contraire aux prescriptions du judaïsme et par voie de conséquence, à la tradition juive.
D’autre part, et là encore je me répète, lorsque ce prénom est donné à un garçon, il s’agit invariablement d’une référence à la Vierge Marie, mère de Jésus-Christ.
En outre, il se trouve que j’ai parmi mes amis un Poher qui est apparenté à l’homme politique et qui m’a confirmé les origines bretonnes des personnes qui portent ce nom.
Et enfin, la sépulture de l’intéressé est à l’évidence une sépulture très chrétienne.
Sources : Cimetières de France et d’ailleurs ; Geneastar ; Match ID ; Eric A. Poher, entretien avec l’auteur ; Wikipedia.
La terminaison en « -er » ? En fait, peu importe la raison, la connaître n’aurait pas grand intérêt. Il n’y a même pas lieu de parler de raison. Le mot déraison serait plus adéquat.
C’est pourtant gravé dans le marbre. |
En fait, la seule présence du prénom Marie dans son état-civil suffit à prouver, s’il en était besoin, qu’Alain Poher n’était pas juif.
En effet, comme je l’ai déjà expliqué à propos d’Etienne Ader, de Jean-Louis Borloo, de Joris-Karl Huysmans et d’Alain Juppé, donner à un enfant un prénom de l’autre sexe est absolument contraire aux prescriptions du judaïsme et par voie de conséquence, à la tradition juive.
D’autre part, et là encore je me répète, lorsque ce prénom est donné à un garçon, il s’agit invariablement d’une référence à la Vierge Marie, mère de Jésus-Christ.
En outre, il se trouve que j’ai parmi mes amis un Poher qui est apparenté à l’homme politique et qui m’a confirmé les origines bretonnes des personnes qui portent ce nom.
Et enfin, la sépulture de l’intéressé est à l’évidence une sépulture très chrétienne.
Sources : Cimetières de France et d’ailleurs ; Geneastar ; Match ID ; Eric A. Poher, entretien avec l’auteur ; Wikipedia.