Julien Clerc fait partie des stars de la scène et du petit écran, il est brun (maintenant, il est plutôt grisonnant), bouclé, et il a le teint mat : voilà tout ce qu’il faut aux adeptes de la théorie du complot juif et autres mythomanes pour conclure qu’il est juif.
Julien Clerc s’appelle en réalité Paul-Alain Leclerc, et il est baptisé. Sa mère, Evelyne Merlot, était une métisse d’origine guadeloupéenne. Une métisse d’origine guadeloupéenne a peu de chances d’être juive, surtout si elle s’appelle Merlot. Merlot, comme nom de famille, n’est pas plus juif que Cabernet ou Sauvignon.
Leclerc n’est évidemment pas davantage un nom porté par des Juifs. En outre, si le prénom original du chanteur est Paul-Alain, c’est parce que sa mère tenait autant à l’appeler Alain que son père tenait à lui donner son propre prénom, Paul.
J’ai déjà eu l’occasion de l’écrire maintes fois : même des Juifs extrêmement éloignés de la tradition juive n’appelleront jamais un enfant comme son père. Que Paul Leclerc ait décidé de donner à son fils son propre prénom, c’est une preuve supplémentaire, et non des moindres, qu’il s’agit d’une famille dans laquelle ni le père, ni la mère, ni leur progéniture ne sont juifs.
Sources : Le Figaro du 25 octobre 2004 et Wikipedia.
Julien Clerc s’appelle en réalité Paul-Alain Leclerc, et il est baptisé. Sa mère, Evelyne Merlot, était une métisse d’origine guadeloupéenne. Une métisse d’origine guadeloupéenne a peu de chances d’être juive, surtout si elle s’appelle Merlot. Merlot, comme nom de famille, n’est pas plus juif que Cabernet ou Sauvignon.
Leclerc n’est évidemment pas davantage un nom porté par des Juifs. En outre, si le prénom original du chanteur est Paul-Alain, c’est parce que sa mère tenait autant à l’appeler Alain que son père tenait à lui donner son propre prénom, Paul.
J’ai déjà eu l’occasion de l’écrire maintes fois : même des Juifs extrêmement éloignés de la tradition juive n’appelleront jamais un enfant comme son père. Que Paul Leclerc ait décidé de donner à son fils son propre prénom, c’est une preuve supplémentaire, et non des moindres, qu’il s’agit d’une famille dans laquelle ni le père, ni la mère, ni leur progéniture ne sont juifs.
Sources : Le Figaro du 25 octobre 2004 et Wikipedia.